Le luminaire LCH 83 a été conçu par ECLATEC, et commercialisé à partir de 1975. L’acronyme signifie « Luminaire Capoté Hermétique équipé du réflecteur Multitec 83 ». Il a été conçu pour l’éclairage des axes intermédiaires, et ainsi accompagner le luminaire LCM 101 destiné à éclairer les axes plus larges. Le luminaire LCH 83 a été commercialisé jusqu'en 1982 en France. Le luminaire Australe 83 lui a succédé.
Le luminaire ECLATEC LCH 83 peut être équipé de lampes BF 125 W ou 250 W, ou bien HPS 150 W ou 250 W (dans ce dernier cas on parle alors de LCH 83 S). Il est constitué d'un châssis et d'un capot en aluminium teinté généralement bleu perle. Il est équipé d’un appareillage incorporé et muni du réflecteur Multitec 83. Il peut être fixé de manière latérale (LCH 83 L) ou verticale (LCH 83 T) à un mât. L’appareillage est fixé sur un bloc mécanique ascenseur-descenseur, fixé au capot, qui permettait un accès aux composants en activant deux leviers. Livré avec une vasque en méthacrylate dans sa version standard, il pouvait aussi être livré ouvert sur demande (on parle alors de LCO 83).
Le luminaire LCH 83 a connu ses plus gros succès dans le quart nord-est de la France, où ECLATEC était implanté. On le trouvait notamment beaucoup en Meurthe-et-Moselle, en Côte-d'Or, en Saône-et-Loire, en Haute-Saône, dans le Doubs ainsi que dans les Ardennes. En dehors de ces départements, le trouve facilement dans les communes où ECLATEC est bien implanté, telles que Nice, Morlaix ou encore Châtellerault. En Ile-de-France, on en trouvait beaucoup dans le sud des Hauts-de-Seine, notamment à Malakoff, Sceaux, Bourg-la-Reine et Bagneux. Plusieurs centaines d’exemplaires ont également été installés dans la commune de Saint-Maur-des-Fossés.
A l’étranger, le luminaire LCH 83 a eu un très grand succès en Italie, où il y était même beaucoup plus fréquent qu’en France. Il était fabriqué par SOLDI E SCATI, filiale italienne d'ECLATEC de l'époque, et y a été produit jusqu’aux alentours de 1990. Les exemplaires fabriqués par SOLDI E SCATI étaient peints en beige. Il est quasi-inexistant ailleurs en Europe, tout juste en trouve-t-on dans quelques espaces privés en Belgique et au Portugal. Sa commercialisation à l’export, en dehors du cas italien, s’est surtout focalisée sur des pays d’Afrique francophones, notamment ceux d’Afrique subsaharienne, tels que le Bénin, le Cameroun et le Gabon où ECLATEC était bien implanté à cette époque. On en trouve aussi en Guinée équatoriale et au Mozambique. Ailleurs, on en trouve quelques exemplaires au Maroc (notamment dans la ville de Tétouan) et en Tunisie. Plusieurs centaines exemplaires ont également été installés dans la ville de Tripoli au Liban.
Le luminaire LCH 83 a été conçu par ECLATEC, et commercialisé à partir de 1975. L’acronyme signifie « Luminaire Capoté Hermétique équipé du réflecteur Multitec 83 ». Il a été conçu pour l’éclairage des axes intermédiaires, et ainsi accompagner le luminaire LCM 101 destiné à éclairer les axes plus larges. Le luminaire LCH 83 a été commercialisé jusqu'en 1982 en France. Le luminaire Australe 83 lui a succédé.
Le luminaire ECLATEC LCH 83 peut être équipé de lampes BF 125 W ou 250 W, ou bien HPS 150 W ou 250 W (dans ce dernier cas on parle alors de LCH 83 S). Il est constitué d'un châssis et d'un capot en aluminium teinté généralement bleu perle. Il est équipé d’un appareillage incorporé et muni du réflecteur Multitec 83. Il peut être fixé de manière latérale (LCH 83 L) ou verticale (LCH 83 T) à un mât. L’appareillage est fixé sur un bloc mécanique ascenseur-descenseur, fixé au capot, qui permettait un accès aux composants en activant deux leviers. Livré avec une vasque en méthacrylate dans sa version standard, il pouvait aussi être livré ouvert sur demande (on parle alors de LCO 83).
Le luminaire LCH 83 a connu ses plus gros succès dans le quart nord-est de la France, où ECLATEC était implanté. On le trouvait notamment beaucoup en Meurthe-et-Moselle, en Côte-d'Or, en Saône-et-Loire, en Haute-Saône, dans le Doubs ainsi que dans les Ardennes. En dehors de ces départements, le trouve facilement dans les communes où ECLATEC est bien implanté, telles que Nice, Morlaix ou encore Châtellerault. En Ile-de-France, on en trouvait beaucoup dans le sud des Hauts-de-Seine, notamment à Malakoff, Sceaux, Bourg-la-Reine et Bagneux. Plusieurs centaines d’exemplaires ont également été installés dans la commune de Saint-Maur-des-Fossés.
A l’étranger, le luminaire LCH 83 a eu un très grand succès en Italie, où il y était même beaucoup plus fréquent qu’en France. Il était fabriqué par SOLDI E SCATI, filiale italienne d'ECLATEC de l'époque, et y a été produit jusqu’aux alentours de 1990. Les exemplaires fabriqués par SOLDI E SCATI étaient peints en beige. Il est quasi-inexistant ailleurs en Europe, tout juste en trouve-t-on dans quelques espaces privés en Belgique et au Portugal. Sa commercialisation à l’export, en dehors du cas italien, s’est surtout focalisée sur des pays d’Afrique francophones, notamment ceux d’Afrique subsaharienne, tels que le Bénin, le Cameroun et le Gabon où ECLATEC était bien implanté à cette époque. On en trouve aussi en Guinée équatoriale et au Mozambique. Ailleurs, on en trouve quelques exemplaires au Maroc (notamment dans la ville de Tétouan) et en Tunisie. Plusieurs centaines exemplaires ont également été installés dans la ville de Tripoli au Liban.