Le luminaire 1317 a été conçu par ECLATEC, et commercialisé entre 1958 et 1970 environ. Il a succédé au luminaire 1312. Il offre l'avantage par rapport à ce dernier de disposer d'une équerre porte-douille qui permet de positionner la lampe de façon parfaitement horizontale au sein du bloc optique, dont le sommet est strié. L'accès à la lampe est également facilité. Ce luminaire est un assemblage :
- D’un réflecteur de type « Miroir 7 », pour lampes BF 125 W, 250 W ou 400 W.
- D’un corps armature en aluminium coulé, qui se présente sous forme d’une calotte.
Le luminaire est orientable. La calotte est fixée au mât par le sommet via une rotule. Un porte douille est vissé sous le réflecteur, strié en son sommet. La lampe est en position horizontale et réglable. L’ensemble peut être fermé par une vasque scellée en verre ou en méthacrylate. L’appareillage est séparé du luminaire.
En France, ces luminaires ont d’une manière générale été installés dans quelques grandes villes. Plusieurs milliers d'exemplaires ont été installées dans les rues de Nancy. Au cours des années 2000, on en trouvait toujours à Compiègne. Hors de France, on les trouvait dans les ex-colonies françaises en Afrique où ils ont été installés avant l’indépendance de ces pays.
Le luminaire 1317 a été conçu par ECLATEC, et commercialisé entre 1958 et 1970 environ. Il a succédé au luminaire 1312. Il offre l'avantage par rapport à ce dernier de disposer d'une équerre porte-douille qui permet de positionner la lampe de façon parfaitement horizontale au sein du bloc optique, dont le sommet est strié. L'accès à la lampe est également facilité. Ce luminaire est un assemblage :
- D’un réflecteur de type « Miroir 7 », pour lampes BF 125 W, 250 W ou 400 W.
- D’un corps armature en aluminium coulé, qui se présente sous forme d’une calotte.
Le luminaire est orientable. La calotte est fixée au mât par le sommet via une rotule. Un porte douille est vissé sous le réflecteur, strié en son sommet. La lampe est en position horizontale et réglable. L’ensemble peut être fermé par une vasque scellée en verre ou en méthacrylate. L’appareillage est séparé du luminaire.
En France, ces luminaires ont d’une manière générale été installés dans quelques grandes villes. Plusieurs milliers d'exemplaires ont été installées dans les rues de Nancy. Au cours des années 2000, on en trouvait toujours à Compiègne. Hors de France, on les trouvait dans les ex-colonies françaises en Afrique où ils ont été installés avant l’indépendance de ces pays.